« Deuxième bouteille. Un Saint-Martin. Robe sombre, reflets rubis, notes de cacao et de réglisse. »
En parlant du Château : « C’est le plus beau des trois. Un Château qui tient d’ailleurs davantage d’une imposante et confortable maison de famille que d’une forteresse. Murs patinés, couleurs italiennes… »
« Tiédeur bienveillante des frondaisons des chênes gigantesques, dont les feuilles nouvellement écloses dessinent des moineaux immobiles sur les murs, sur le bleu des tables en fer, comme des petits ciels, dehors, sur les bancs de bois, dans les parterres de fleurs jaunes et blanches. »
« Cela m’évoque la poésie bouillonne du jardin de Colette, à la Treille Muscate, celle-là qui lui a fait écrire : « aurais-je atteint ici ce que l’on ne recommence point ? »
« Une terre sainte. »
« La Grande Réserve, robe sombre aux reflets rubis, nez fruité – cerise et fraise – , un palais aux tanins fins, un vin joyeux qui coule à flots. »
« La Comtesse de Saint Martin, en blanc, un 2013, un petit poème celui-là »